Foire aux questions (FAQ)
Oui, il vous suffit d'aller sur l'onglet "Analyse Recettes" pour y inscrire vos recettes mais aussi vos menus ou votre consommation journalière. Renseignez le plus d'ingrédients possibles pour avoir une vision objectif de vos apports.
Vous pouvez tester votre recette via "Analyse Recettes" pour connaitre quel objectif d'entretien celle ci couvre. Il est possible que votre recette ne soit pas associée à l'objectif d'entretien recherché mais à d'autres. Auquel cas, l'outil vous aide avec des astuces claires à l'équilibrer, pas nécessairement pour cet objectif mais pour qu'elle devienne "santé".
Chaque recette est équilibrée, selon des critères connus et partagés via l'outil "Analyse Recettes". Nous vous proposons des recettes ayant une quantité cohérente de macronutriments et une estimation de leur qualité (types de lipides, glucides etc) par rapport aux besoins journaliers et votre profil, selon le créneau du repas (matin, midi et soir) . Le respect de la quantité et de la qualité des macronutriments encouragent des mécanismes biologiques qui favorisent un état d'équilibre, de régulation alors impliqués dans bon nombre d'objectifs d'entretien. Il y a également des aliments riches en principes actifs d'intérêt qui permettent de cibler un objectif plus précisément.
De ce fait, chaque recette est jugée "bonne" pour la santé sous réserve de cas particuliers telles que les allergies.
Les desserts peuvent tout à fait s'intégrer dans les apports globaux de la journée. Ils apportent eux aussi leur part de protéines, lipides et glucides et pas nécessairement en excès. Le lancement du projet a donné la priorité aux plats couramment consommés. Mais n'hésitez pas à proposer une recette de dessert et le plat qui viendra compléter parfaitement celui-ci, dans les apports du créneau choisi (midi ou soir par exemple). L'outil Analyse Recette est là pour vous guider pas à pas, n'hésitez plus !
Les fonctions physiologiques du corps évoluent au cours de la journée, on parle de rythmes biologiques. Ce qui justifie que nos besoins soient différents au cours de la journée. A titre d'exemple, des glucides pris en fin de journée aident à la production de la sérotonine, neurotransmetteur du bien-être et du sommeil. A l'inverse les protéines aident à la production de la dopamine, neurotransmetteur de la motivation, à prendre donc idéalement en début de journée.
Il y a 15 indicateurs :
Protéines : elles sont indispensables pour bâtir, entretenir et défendre l’organisme. On a tendance à moins en manger avec l'âge, ce qui participe largement à accélérer le processus de vieillement.
Glucides : ils sont indispensable au fonctionnement du cerveau et des muscles, c'est notre carburant. La sédentarité et la baisse du temps de lecture justifient la prise de poids souvent fréquente quand on a une consommation soutenue.
Sucres : Les sucres sont des glucides présentés à part car ils désignent les glucides dits "rapides", car ils sont très vite assimilés par le corps. Aujourd'hui très présent dans l'alimentation dite "ultra transformée", il est plus difficile de ne pas être en excès.
Lipides : ce sont les piliers structurels du corps, un régulateur qui maintient nos cellules en bonne état, aident à la fabrication de nos hormones, assurent une énergie durable.
Acides gras saturés : ce sont une famille de lipides à distinguer, là aussi présents en abondance dans notre nouvelle alimentation. Leurs excès engendrent les problèmes circulatoires et cardiaques qu'on leur connait. Mais consommer modérément, ils peuvent être très nourrissants.
Fibres : Ce sont les fibres d'un aliment qui renseignent sa capacité à apporter des minéraux précieux et conférer une certaine satiété. Un pain complet (dont la farine a gardé le son) est plus riche en magnésium qu'un pain à la farine panifiée telle qu'identifiée T40 ou 55. C'est donc vrai pour tous les féculents et graines (pâtes au blé complet, riz complet)
Quantité de légumes : Les légumes sont riches en vitamines, en antioxydants. Veillez à consommer 400g par jour, c'est la garantie statistique de couvrir vos apports.
Quantité de Fruit : Comme les légumes, ce sont des aliments très riches en vitamines et antioxydants. On en mange au moins un par jour jusqu'à 2.
PRAL : On a tendance à manger moins de légumes que de féculents ou de protéines. On a ainsi pris l'habitude de manger très acide. Le PRAL est l'indicateur qui mesure l'équilibre du point de vue du pH d'un repas.
Ratio animal/végétal : L'homme est omnivore (chasseur-cueilleur), donc on mange de tout dans un rapport équilibré.
Ratio omega 6 / Omega 3 : Notre alimentation moderne a eu tendance à nous abreuver d'omégas 6, qui en excès provoquent notamment de l'inflammation. Les omégas 3 sont de moins en moins consommés bien qu'ils possèdent eux des vertues nutritives démontrées. C'est un indicateur qui démontre qu'un plat peut être riche en bons lipides si ce ratio est de 4.
Sel : C'est un élément indispensable, là encore souvent en excès dans notre alimentation, mais un petit peu ne pose aucun problème au contraire.
Nombre aliments différents : Manger diversifié, c'est varié les macro et micronutriments pour un apport exhaustif et complet.
Nombre de super aliments : Certains aliments ont montré scientifiquement leur pertinence quant à la prévention de l'apparition de telle ou telle anomalie. Ils sont présentés à part pour vous encourager à les consommer aussi souvent que possible.
Energie : C'est une sorte de "jauge" de votre carburant, à comparer à votre dépense énergétique. L'équilibre est à l'égalité. Trop de dépense, pas assez d'énergie, on perd du poids et inversement on en gagne.
Vous aurez peut être constater que des recettes peuvent être dans la catégorie "intolérant au lactose" donc compatible pour les gens qui supportent peu le lactose et en même temps dans la catégorie des "allergies aux produits laitiers". C'est très simple, on peut supporter une petite quantité d'un composant mais limitée, on est alors intolérant. Un excès de ce composant va générer des inconforts intestinaux. Ou bien, avoir une réaction dite allergique en présence du composant quelque soit la quantité ingérée, on est alors allergique au dit composant.
S'il y a un produit laitier dans la recette, c'est un aliment considéré comme potentiellement allergène donc on l'indique. Mais ça ne veut pas dire qu'une recette pauvre en lactose ne peut pas être compatible pour quelqu'un qui supporte une petite quantité (les intolérants) sans y être allergique.
Ce raisonnement vaut pour toute intolérance ayant une version amplifiée dite allergique (autre exemple le gluten).
Nous avons uniformisé les unités de mesure pour simplifier l'analyse des recettes et ainsi éviter aux utilisateurs de préciser à chaque fois les unités.
Voici quelques équivalences pour vous aider dans votre conversion :
1 cuillère à soupe représente environ 10g, une cuillère à café plutôt 5g. Si vous utilisez une balance électronique, vous pouvez changer les unités et ainsi avoir en gramme même les liquides.
Pour plusieurs raisons :
Pour les légumes, la cuisson choisie nous permet d'estimer selon des abaques, quelle quantité de vitamines et de minéraux restent ils dans ceux ci après cuisson.
Pour les féculents, que ce soit les pâtes, le riz, la semoule ... le poids sec et le poids cuit sont très différents. Ce sont des ingrédients cuits à l'eau, leur poids double à la cuisson car ils se gorgent d'eau donc 100g de pâtes crues c'est environ 50g de glucides mais 100g de pâtes cuites c'est 25g de glucides car il y a en réalité 50g de pâtes crues + 50g d'eau de cuisson.
Pour des profils particuliers comme l'allaitement, la grossesse, les personnes âgées et jeunes enfants, il est très important de savoir si l'aliment est cuit ou cru. Car ce sont des profils dits "fragiles" où la cuisson est souvent indispensable pour "stériliser" l'aliment.
